L’ISOS : l’arbre qui cache la forêt

Dans nos villes, de vieilles fermes et d’anciennes villas tombent régulièrement sous la pelle des constructeurs. Ces destructions sont souvent présentées comme une fatalité car selon l’inventaire fédéral des sites construits d’importance nationale à protéger (ISOS),  ces bâtiments ne sont pas jugés dignes de protection. C’est ainsi que le patrimoine local est progressivement sacrifié. Article rédigé par Pierre Yves Delcourt dans 24 Heures.

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